1. |
Le Déclin
02:59
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- Paroles -
Depuis que j’ai l’âge
Pour perdre mon temps sans relâche
Je ne dors plus la nuit
Ce soir je m’efface
Au prix d’une ou deux insomnies
Approche et oublie
Quand la raison m’angoisse
Que la journée se passe
J’attends patiemment le couchant
Tous les jours je ressasse
Ces soirées de répit
Peu m’importe l’insomnie
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2. |
Fugue
05:02
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- Paroles -
Tenterais-tu le tétrahydrocannabinol ?
Tu sais c’est fantastique
Quand j’en inhale je dégringole
À cause de sa composition chimique
Allons ce soir marcher dehors
Et laissons-nous aller encore
Bravons la foule et le bruit
Qui nous retiennent ici
Ploie sous le poids des paupières
Glissant sur tes pupilles
Vois les contours
D’un rivage ou d’une fille
Parfumée de couleurs
Une montée d’orange et gris
M’a donné mal au cœur
Mais je reste planté là
Le rouge m’a pris dans ses bras
Je reste malgré moi
Comme si je n’avais plus le choix
Imagine que ce tableau
Sous tes yeux se dessine
Que pour toi ce n’est qu’un film
Et que moi j’hallucine
Mais je reste planté là
Comme si je n’avais plus le choix
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3. |
Astrud
04:38
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- Paroles -
Des rues de Rio De Janeiro
Court le bruit d’une femme
qui d’un seul mot
Séduirait le Corcovado
Hissant les voiles du bateau
De la bossa et de Jâo
Mais il ne semblait pas
Qu’un jour elle quitterait Bahia
Au bras de cet américain là
Les yeux de la fille d’Ipanema
Ces sursauts qu’elle a dans la voix
Ont eu raison de nombreuses fois
De ceux qui le cœur en émoi
Lui composaient de la bossa
Mais il ne semblait pas
Qu’un jour elle quitterait Bahia
Au bras de cet américain là
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4. |
Kepler, Kepler
04:15
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- Paroles -
La terre a cessé de tourner
Pour moi le temps de figer
Une image du monde
que je n’aurai de cesse de regarder
C’est vrai que je ne sais
Pas vraiment quoi penser
J’ai fini de survoler ces gens
dont tu aimes tant parler
Je t’avoue qu’au fond
ils ne m’ont pas vraiment intéressé
C’est vrai que je ne sais
Pas vraiment quoi penser
La terre a cessé de tourner
Pour moi le temps de figer
Une image de toi
que je n’aurai de cesse de regarder
C’est vrai que je ne sais
Pas vraiment quoi penser
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5. |
Le Laboratoire
03:17
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- Paroles -
Au cinquième d’un immeuble rue de Courcelles
Résonnent encore
Bien
Les bruits blancs des fonds marins
Sur les murs, des toiles de films noirs
Décorent le laboratoire
De la nouvelle vague
Des dizaines de câbles et de vieux claviers
Fonctionnent encore
Sur les murs, des toiles de films noirs
Décorent le laboratoire
De la nouvelle vague
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6. |
Film Noir
01:48
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Instrumental
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7. |
L'Essor
03:53
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- Paroles -
L’essor devait bien arriver
Sous les traits d’une nuit d’été
Si bien lunée
Chaque instant où je ne fais rien
C’est l’oisiveté qui prend ma main
En me disant
Viens
Passer du temps à rien faire
Mais bien le faire
Prends le recul nécessaire
Pour bien le faire
Passer du temps à rien faire
Mais bien le faire
Prends le recul nécessaire
Pour bien le faire x2
L’essor devait bien arriver
Sous les traits d’une nuit d’été
Si bien lunée
Chaque instant où je ne fais rien
C’est l’oisiveté qui prend ma main
En me disant
Viens
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8. |
As-tu peur ?
04:12
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- Paroles -
Ma main contre ta main
Bassin contre bassin
Si tu m’enlaces
Enlisons-nous
Sous la menace
De tes dessous
Sens-tu ma peau
Contre ton dos ?
As-tu peur du matin ?
Du bout des doigts
Les ombres se dessinent
Sous des rayons lucides
As-tu peur du matin ?
Ma main contre ta main
Bassin contre bassin
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9. |
Mon morceau préféré
02:51
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- Paroles -
Il est déjà demain ?
J’ai sommeil
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